JE TE PRÉSENTE LA NOUVELLE VANESSA

Je te présente la Nouvelle Vanessa

Vous êtes toujours super nombreuses à me demander:

❓ Quand tout a commencé ?

❓ Combien tu pesais avant… maintenant ? Combien tu mesures ?

❓ Combien de livres as-tu perdues ?

Well je n’ai toujours rien à répondre de concret. Et tu es déçue ? « Elle est boring finalement Boulais » me diras-tu! Maybe…

Mais ce que je sais hors de tout doute c’est que :

? 14 ans séparent c’est 2 photos.

? J’ai eu deux kids et mon Gaby s’est présenté d’urgence en césarienne.

? J’ai pesée plus de 190 livres.

? J’ai pesée aussi moins de 110 livres mouillées.

? J’ai été sans scrupule avec mon corps. Je l’ai maltraité en le nourrissant si mal. En étant d’une sédentarité inégalée.  Je l’ai aussi privé sans borne. En étant excessive dans l’entraînement.

 

Je me souviens que trop bien mon état lors de la photo de gauche.  Je ne connaissais pas ma position et mon rôle dans ce monde, je n’existais pas, je ne me sentais pas bien, pas à ma place… Perdue & dépourvue.

 

Puis un matin, les astres se sont alignés et ma vision est devenue claire.

Je souhaitais être bien. En paix. Juste ça.

Tout un défi.  Je devais apprendre à me connaître et être imparfaite.

Je le savais que la route serait longue et difficile mais que tout le processus en vaudrait le coup.

 

Cette photo représente tout le cheminement que j’ai fait. Certes il y a une transformation physique que l’on peut voir à l’œil nu et pour avoir touché le fond, je peux dire que ce reflet me plait [beaucoup] à présent.

Il représente la personne que je suis at this present time : une femme heureuse, comblée par ce que la vie lui offre. Une amoureuse qui danse en équilibre sur ce que la vie me donne la chance de vivre.

Ce reflet laisse transparaître mes apprentissages, mon ouverture face à la vie, ma capacité a me relever, affronter l’adversité et la siii GRANDE évolution personnelle que j’ai faite. — » » » Tellement invisible à l’écran.

 

Certes j’ai un avant picture gravé dans ma tête, mon cœur et mon corps.

Mais ce que je veux te laisser transparaitre ce soir c’est que tu peux aussi.

? Tu peux devenir la personne que tu veux.

? Ce n’est pas une question de reflet, de livres perdues ou d’une shape quelconque.

? Il s’agit d’apprendre à se connaitre, jongler avec l’imprévu, s’accoutumer au laisser-aller, déléguer, bien s’entourer, faire preuve d’ouverture face à la vie.

? Prendre soin de toi au quotidien sous toutes ses formes.

? Être en paix avec la nourriture, assumer tes envies et prendre plaisir à laisser ton corps bouger, suer…

? Être allumée, positive et continuellement sculpter ton esprit.

 

J’ai cumulé, à cet instant environ 4500 jours, plusieurs plans alimentaires, des dizaines de programme…des méthodes louches, des saines…et des plans de marde (disons-le) !

 

Mon nombril tu le vois tous les matins et promis je serais la demain aussi.

Tu peux lire mes états tous les jours.

Je n’arrêterais pas. Je suis là pour rester.

 

Je continue de progresser day after day.

Le reflet du miroir ne m’importe plus et c’est ce que j’ai envie de te léguer…mon cheminement.

Je m’entraîne pour maintenant mes acquis, repousser mes limites, me sentir forte, en contrôle, me sentir bien…me sentir comme je me sens en cet instant.

 

Aujourd’hui n’est pas la fin de quelque chose.

Demain n’est pas le commencement d’une autre.

Demain sera la continuation de ma vie. Celle que j’ai envie de vivre.

Le plus beau cadeau que je me suis fait à ce jour

FAMILLE RECOMPOSÉE

Ce soir, j’avais envie d’écrire. Ventiler, exprimer ma joie, ma sérénité du moment…

Ce soir, je me sens en paix et paisible après quelques heures de réflexion. Le temps de me poser. De revenir sur ces derniers jours. Ces derniers mois qui ont filés sans bon sens.

 

Être parent c’est toute une aventure! On vit des émotions de fou, on donne naissance à un nouveau sentiment, un nouvel amour… une force.

On fonde une famille. On a un plan, on visualise des rêves, des objectifs que l’on veut atteindre. On se projette.

But sometime il y a des imprévus. La tempête gronde fort et apporte tout sur son passage.

 

Rebâtir est difficile! Beaucoup plus difficile que bâtir comme la première fois car nous avons tous des schèmes, des souvenirs, des caractères & des manières différentes. On porte chacun ces blessures. On ne réagit pas pareil et ce à des moments distincts, sans prévis… avec une intensité variable et unique.

Comme responsable du mouvement, j’ai du faire preuve de respect, de patience, de compréhension, de douceur démesurée et d’une présence de polichinelle. Indulgence.

J’ai dû endosser, avaler, ravaler et me porter responsable de beaucoup. Pendant longtemps.

Mon rôle de maman qui a quitté papa a été difficile pendant plusieurs mois, mon grand a changé d’attitude, a eu des comportements différents, n’a pas toujours fait de bons choix. Mon mini a eu besoin d’une présence constante, nuit et jour, il a régressé dans ces apprentissages au quotidien et a perdu un brin de douceur ici et là!

Impolitesse. Non chalande. Colère. Incompréhension. Victimisation.

 

Comme nouvelle amoureuse, j’ai dû faire face a de nouveau petits humains fragiles, qui étaient tout autant blessés et j’ai été un long moment celle qui ferait en sorte qu’ils ne retrouveraient leur vie d’avant.

J’ai été longtemps et je suis encore celle qui rappelle que leur maman n’est pas là cette semaine.

 

Finalement, c’est toute la [nouvelle] maisonnée qui en a pris un solide coup. On s’est chicané, oublié, négligé.

 

Je dis souvent que le temps passe vite mais crime c’est fou et heureusement qu’il passe parce qu’il apaise TOUT sur son passage, même les âmes les plus écorchées.  Les cocos peinés & les [belles] mères au cœur remplies d’espoir.

 

Je profite au max des instants nouveaux, l’ouverture présente des kids, leur grande capacité d’adaptation et leurs nouveaux sourires qui témoignent de nouveaux bonheurs sincères.

Je ne veux plus rien arrêter, ni figer dans l’espace je veux savourer. Tout vivre et goûter.

Imaginer tous les petits bonheurs, les odeurs & les fous rires.

 

Le rôle de maman m’a beaucoup appris et maintenant j’ai la chance d’être parent au sens bien plus large, bien plus précieux.

Comme maman j’ai souvent remis en question mon rôle, mes décisions, mes façons de faire, de penser…le ton que j’ai pris, le ton que j’ai trop poussé.

 

Parfois et même souvent on s’en veut. Ça fesse & on regrette.

Mais je me suis promis le jour que j’ai déclenché la tempête et que j’ai vu des petits yeux remplis d’incompréhension que je retrouverais leurs flammes et cette amour inconditionnelle qu’il me portait.

Je me suis promis que le temps serait à mon avantage dans le cœur de mes nouveaux cocos.

Je suis qui je suis et j’ai beaucoup à leur apporté. Je le sais.

 

Avec du recul et une grande puff de leur petit cou je sais profondément que ce nouveau bonheur si doux, si précieux vaut beaucoup.

 

Nous sommes maintenant une famille différente, des amoureux fous, des frères différents, une fratrie plus grande, des règles différentes mais on sent + que jamais qu’une nouvelle tribu se forme.

On a chacun nos places, on s’écoute, se parle et on se respecte de plus en +.

On apprend à s’aimer autrement.

 

Ce soir, les boys vous n’êtes pas à la maison avec Vincent et moi, vos demi-frère et sœur non plus mais laissez-moi tous vous dire que maman et la belle belle maman en moi est fière de vous, malgré la routine qui nous écorche parfois [la vie you know] on est super bien et on s’en va (clairement) dans la bonne direction.

Ce soir, j’ai le cœur léger d’un parent qui a fait son devoir.

Prendre le taureau par les cornes et vouloir le mieux pour nous tous.

 

Merci mon amour d’être là, si présent et impliqué pour chacun d’entre nous.

Merciiii de nous faire la siiii belle et GRANDE place que tu nous fais parmi les tiens pour que l’on puisse bâtir un nous si beau et d’une douceur immesurable.

 

TU ES BELLE À NU. TEL QUE TU ES.

Tu es belle à nu. Tel que tu es.

Libre d’être toi-même.

Oui ce genre de photo flash, génèrera beaucoup de partages, de likes…. Des demandes weirds et bien des commentaires désobligeants et méchants [venant d’un public bien loin ciblé par mon message…. Mais non stress ça me permet de faire le ménage ?]

C’est mon message ici qui est important et j’espère que tu sauras l’entendre et qu’il te fera du bien, car ces derniers temps je me suis beaucoup questionné sur ma définition de la beauté, avec plusieurs campagnes qui ont défilées sur les réseaux sociaux et suite à plusieurs de mes conversation avec des femmes qui nous a présenté plusieurs témoignages et idées à l’égard de la beauté !

—- » » » Qu’est-ce que la beauté pour toi?

Ce que je sais c’est ce que ma définition et mes « barèmes » ont beaucoup changé depuis que je suis coach en remise en forme et que je suis affichée sur les réseaux sociaux.

Ma vision de la beauté était biaisée par les idéaux que nous renvoie la société, parce qu’on nous enseigne, nous montre…  Les films, les magazines, la pub…

Pendant longtemps j’étais convaincue que mon acceptation passerait par le fameux regard des autres, que le regard que je me portais n’était que secondaire.  — » » Non mais quelle belle marde!

Avec mon parcours, mes victoires, mes débarques et mon grand développement personnel j’ai compris!

Compris que je suis unique, telle que je le suis.

Je suis comme je suis physiquement et ce n’est qu’une infime partie qui compose MA beauté. Cela ne me défini plus…pas.

 

Ce qu’on ne voit pas à l’œil nu quand on capte une photo, qu’on fige un moment, une ambiance c’est la confiance que je gagne à travers mon quotidien, la force que jacquiers è travers les tempêtes, l’ouverture dont je fais preuve autour de moi, l’abandon et la simplicité que je tente de vivre pleinement qui contribue à la belle badass que je suis.

Parce que oui je me trouve belle.

Belle dans mon unicité.

Belle dans ma simplicité.

Belle dans ma force, comme dans toutes mes faiblesses & dans ma vulnérabilité grandissante.

Je me rends compte qu’en voulant plus de fesses, moins de hanches, être plus mince, plus musclée, beaucoup plus cut j’avais déclenché une chasse à vouloir être plus belle. Plus belle, plus acceptée, plus adulée, plus aimée!

Avec les années, j’ai compris que c’était entre mes deux oreilles que cela se passait. Que je devais work si je voulais sortir de cette foutu boîte que je m’étais construite et que j’avais solidement fortifiée avec les années.

Prendre soin de moi au quotidien a été la clé.

Que ce soit par l’entraînement, la course, un doux maquillage, des vêtements pétés que j’assume porter, les tatoos qui colorent mon corps la beauté va bien au-delà de mon physique.

Corps + âme + coco + cœur

J’en ai fait du chemin pour m’accepter.

Pour me trouver belle. Sexy. Femme.

Pour être douce et indulgente avec moi-même.

 

Chikita! Tu dois comprendre que pour plaire, pour être aimé, tu ne dois pas correspondre à AUCUN idéal, a aucun des critères dicté par des individus, des personnages, l’élite ou même ta propre dictature.

Tu dois aussi comprendre que tu ne dois en aucun cas te taire quand tu n’es pas du même avis que quiconque.

 

Lève-toi.

Assume-toi.

Parle. Fort. Crie.

Pousse.

Dépasse-toi.

Apprends. Éduque-toi. Intéresse-toi.

Écoute.

 

Plaire à tout le monde, c’est plaire à n’importe qui.

L’important c’est de se plaire à toi belle-âme.

Reconnecter avec l’oeil du cyclone

Le lâcher prise est un beau et grand concept tiré de plusieurs bouquins.

J’en ai entendu parlé à la pelle mais bon quand tu n’es pas rendu la tu prend et process l’info que tu veux bien entendre right?

Quand tu frappes ton mur tu entends ce concept d’une tout autre facon Believe me. 

Ce mur m’a heurté de plein fouet. Je n’aurais pas pu le prédire, ni même le voir venir. 

Tout le monde autour l’avais prédit. 

Pour moi le contrôle était la voie…ma voie.Ma voie pour le succès, la réussite, le bonheur, mon bien-être. Je croyais tout contrôler, mais comme un château de cartes, mes repères ont été soufflés, balayés et j’ai perdu pied. Par moment j’ai même eu l’impression de ne plus sentir le sol. 

Pour pouvoir aller de l’avant, j’ai décidé de me poser les bonnes questions, faire place à la réflexion…et le plus toff aller gratter dans mon introspection. Outch ca ébranle une superwoman ça!

J’ai rapidement compris, que j’avais changé. Beaucoup. Mes valeurs ont bifurquées, mes envies, mes désirs, mes priorités ont changées. Mais j’ai forcé. J’ai tenté de retenir cette vague de renouveau.

J’ai crée un clash entre mon coeur et mes pensées, mes actions.  

Je me suis permis la compassion. Accepter la nouvelle impulsivité de mon coeur en lui accordant la lumière et en donnant un max de love à mes pensées. 

Tu te sens a la croisé des chemin entre ton coeur et tes actions, tes envies…. 

Voici 2-3 tip’s qui ont fait la différence dans mon cheminement des derniers mois:

  • Pour accueillir le nouveau tu dois prendre le temps d’observer ce qui doit s’envoler. Créer le vide est un exercice presque magique. 
  • Pardonne-toi. Pour ce que tu es, que tu n’es pas. Pour ce que tu as fait… et non fait. Le pardon est difficile mais ô combien apaisant et libérateur. 
  • Pour avoir + de clarté dans ta vie, essaie de dresser une liste de WOW & ARK, une nouvelle structure que tu aimerais dans ta vie pour t’apporter mieux et plus. Change ton état pour mieux fonctionner et te permettre d’éliminer ton état de submersion. 
  • Créer des limites et une routine que tu aimeras assez fort pour que tu puisses trouver une certaine clarté. 
  • Suis ton coeur, qu’est-ce qu’il veut, il a envie de quoi. Laisse le aimer, apprécier, désirer. 

Il y a quelques semaine j’ai fait ce premier step de fait qui a marqué le Jour 1  de la conquête de moi-même, de ma reconstruction…de ma guérison. 

C’est exactement comme cela que je le vois: une guérison. 

Mettre des mots sur mon état, mon problème, ce qui me rongeait a ete bouleversants.

Voir les dommages collateux a ete brutal.

Constater l’état dans lequel je m’tais mis a été confrontant en tout point. 

J’ai mes beaux jours, et j’ai encore des journées difficiles, des moments noirs, des réflexions lourdes mais j’ai espoir d’aller mieux, de me faire confiance dans ce nouveau chemin que j’emprunte, explore.

Je fais confiance en mon jugement et a la vie. 

Elle saura qui mettre sur ma route pour m’aider, pour me faire grandir.

Elle saura qu’elles opportunités mettre entre mes pieds pour que je chemine et que je m’élève encore plus haut. 

Je me sens bien. J’ai espoir et j’ai encore envie d’y croire. 

A force de vouloir contrôler tout ce qui nous entoure, nous gaspillons notre énergie et perdons notre sérénité. D’où le fameux “lâcher-prise” ! Une attitude intérieure d’ouverture à la vie et aux autres

Lâcher prise implique de ne rien attendre et donc de ne jamais être déçu. Partir du principe d’accepter est le meilleur moyen pour vivre chaque jour de belles surprises ! Quand on n’attend pas, tout ce qui arrive de positif devient un cadeau de la vie. Ainsi, chaque petit bonheur est apprécié et célébré à sa juste valeur.

Beaucoup de personnes ne réalisent plus la chance qu’elles ont en banalisant tous les bienfaits dont elles disposent. Elles en deviennent blasées. Elles sont insensibles aux merveilles qui les entourent. Il est dommage de devoir en arriver à expérimenter la perte pour prendre conscience de la valeur perdue.

Lâcher prise permet de vivre chaque moment plus intensément. Il s’accompagne généralement d’un ancrage dans l’instant présent. Il permet d’être pleinement, et sans concession, ici et maintenant.

Beaucoup de personnes, terrassées par leurs peurs, sont constamment, par l’esprit, dans le passé ou dans le futur. Leur corps physique est bien là mais leur attention est ailleurs. Elles en arrivent donc à ne plus réellement profiter de ce qu’elles sont en train de vivre. Elles gâchent les moments qui auraient pu leur être agréables et bénéfiques en s’inquiétant de faits sur lesquels elles n’ont pas le contrôle.

Enfin, de manière générale, lâcher prise, c’est déposer un sac trop lourd pour ses épaules. Cette attitude permet d’avancer dans la vie avec plus de légèreté. Le stress, l’anxiété, l’inquiétude, l’appréhension sont des sensations qui affectent notre corps physique et notre esprit. Il vaut mieux, tant que possible, s’en débarrasser !

Réécrire son histoire

RÉÉECRIRE SON HISOIRE

Il y a quelques jours que ce post me tourne dans la tête et c’est là, maintenant, ce soir que j’ai envie de te le présenter.  Je suis certaine que plusieurs en ont (grandement) besoin et ne le savent pas encore…

J’espère que j’arriverais à te faire réfléchir, à te faire évoluer un brin… a shaker ton ouverture et surtout à mettre ton indulgence et ton amour de toi-même sur la table.

Certains connaissent mon parcours, d’autre non.

À travers les années, mes nombreux posts j’ai parlé de mon parcours, de plusieurs de mes épreuves, certains de mes struggles mais je n’ai jamais été aussi loin quant à la rétrospective que j’ai pris les derniers mois.

Tu sais, il n’a pas toujours été easy de faire partie de mon histoire, je n’ai pas tjrs été une actrice avec la tête haute, le sourire facile…le cœur léger.

À scroller, mon profil Facebook, mon insta, à regarder mon branding assumé, plusieurs croient que j’ai toujours été en forme, pleine d’énergie, motivée et positive…née pour être inspirante. Et bien non. La fille souriante et passionnée que tu vois défiler sur ces pages n’a pas toujours été. Moi aussi j’ai un passé… je ne le renierais jamais. Il faut de moi la femme que je suis ajd.

J’ai pesé plus de 190 livres, aucune fibre sportive. Se sont enchaînés mauvaises fréquentations, mauvais choix, mauvaises décisions.

Avec le temps, cette spirale m’a carrément plongée dans un coma, une bulle, où mes envies ont disparues, où mon sourire s’est perdu dans le miroir avec le teint fade, les yeux sans éclat, l’envie d’être en arrière à l’abri des regards.

Je n’étais qu’une ombre, je ne voulais pas devenir personne.

L’abus et ma négligence à fait du mal à mon corps et mon âme en a pris un coup.

 

J’ai aussi pesé moins de 113 livres (mouillée), en plein contrôle de tout (TOUT) ce qui était extérieur à moi. Une samouraï en mission, une guerrière professionnelle qui avait le goût de la restriction et de la privation aux lèvres.

J’étais sans pitié envers moi-même, jamais de remord. Aucune tentation, aucune invitation ne pouvait me faire dévier de mes objectifs qui sont devenus toujours plus restrictifs.

Abstinence.

Carence.

 

C’est cet antipode que tu ne connais pas réellement. Tu as peut-être pus sentir ma détresse à ce moment, alors que moi je ne l’ai vu que plus tard, arrivée au bout du tape.

J’étais si éloignée dans ma tête que j’ai fait du mal à mon corps, j’ai laissé mon corps se transformer à l’extrême et faire du mal à son tour à mon âme.

Je me suis privée… Beaucoup privée. Pendant longtemps.

Privation alimentaire

Entrainement abusif.

Contrôle extrême.

Sacrifices.

 

Je ne regrette rien, je suis allée au bout de ce que j’avais à vivre.

Au bout du défi, du challenge que je me suis lancé.

Le combat que je me suis livrée.

 

J’ai vécu une grande partie de ma vie aux antipodes et j’ai envie de te dire que ça va aller ma belle.

Arrêtons de se comparer, de swiper les photos pour avoir comme seul et unique objectif de la photo de droite… l’after tant espéré.

Arrêtons d’obsession du corps idéal, là où on peut se perdre, là où on se rend fou.

Cet endroit je l’ai visité et l’obsession était tellement ancrée qu’elle  a me brouillé le reflet que me renvoyait le miroir. Je ne me voyais plus, je n’étais pas encore satisfaite de mes résultats.

Let me tell you something.

Cette lutte sans merci à mes objectifs m’a rendu égoïste, comme je ne l’ai jamais été.

J’étais malade dans ma tête, dans mon corps.

C’est épuisant overall de s’occuper toujours de soi, se préoccuper de ce que les gens vont penser de moi, mon nombril, mon apparence. Qui me regarde.

Une pression. Un poids.

Me soucier de ce que je vais manger à chaque instant, me rendre malade à me demander quand je vais m’entrainer et si je pourrais en refaire un 2e.

Avoir faim mais savoir qu’il me reste que très peu à manger dans ma journée.

Compter. Calculé. Proportionner.

Partout.

Tout le temps.

Pas d’énergie. Se sentir comme une marde. Carburer au contrôle.

Oublier de vivre, oublier de profiter.

Oublier le goût de la crème glacée à la première journée de canicule avec les kids.

Renoncer aux gâteaux d’anniversaire parce que ce n’est pas TA fête.

Abandonner les goûts, les saveurs et les arômes des aliments que tu aimes simplement parce qu’ils ne rentrent pas dans le plan.

Refuser de célébrer quoi que ce soit, pour être au poste le lendemain pour recommencer all over again.

 

Contrôle

Contrôle.

Contrôle.

 

Oublie la photo de droite pour unique objectif.

Si tu aspirais plutôt à être HEUREUSE, FORTE, apprécier le PROCESSUS.

 

Moi j’ai décidé de vivre!

L’entraînement est devenu un passe-temps, une façon de me sentir mieux… Il n’y a plus de surentraînement.

La bouffe est devenue mon gaz, ce qui me permet de pousser ma fonte, de rocker mes hiits, d’avoir des fesses de plomb et de progresser à travers mes programmes.

 

Si tu en fessais autant belle âme ?

Si on visait l’équilibre ?

Si tu profitais et ne culpabilisais pas ?

Si on arrêtait tous de se punir ?

 

Sors de ton corps, accorde-toi la bienveillance.

Vis. Expérimente.

Cris tes réalisations, tes passions, ce qui te drive dans la vie au gens all around you.

Ceux qui compte, qui mérite plus que de voir un corps parfait, à TA définition.

Dors. Mange. Relaxe. Partage.

 

Je regarde, je vois, je lis, j’entends, je ressens.

Je sais que plusieurs en ont (grandement) besoin et maintenant tu sais pourquoi.

Tu peux aussi te libérer de cette cage, de ce contrôle, de cette pression auquel tu te soumets volontairement et tendre vers l’équilibre.

Ultimement le bien-être.

Faire preuve de vulnérabilité, faire face au changement, à nos démons est fucking difficile i know.

Change ton mindset.

Entoure-toi des bonnes personnes.

Deviens cette personne que tu as envie.

 

Je me dois RESPECT & TOI AUSSI.

Repeat after me:

? Im more than a body.

? Im a Beautiful soul.

 

 

Never hide baby, always grow.

Never hide baby, always grow.

Tu sais !? J’ai peur moi aussi. 

J’ai peur là, maintenant même si je suis adulte. 

J’ai grandi depuis le temps des contes mais je n’ai pas oublié cette émotion non douce, à la fois invasive et pernicieuse qui nous transperce, le plus souvent qu’autrement quand on ne s’y attend le moins. 

Je n’ai plus peur du loup, ni de l’obscurité, de ce qui peut se cacher sous mon lit ou même du craquement des planchers mais je panique devant certaines situations.

J’angoisse lorsque je suis confrontée à certaines personnes. 

J’ai des frissons à l’idée de manquer quelque chose.

Im scare to death quand je fais un choix, quand je prends une décision importante. Une crainte de faire le mauvais pick, de ne pas me sentir soulagée, mieux, que ce choix ne m’apporte pas +. 

J’ai peur de me tromper sur des gens, peurs de me tromper encore sur une personne que j’aime. 

Peur de vivre les émotions trop pleinement et ce trop souvent. 

Peur de revivre certains passages obligés, peur de ressentir la peine once again, peur d’avoir mal over and over again. Peur de souffrir a nouveau.

Tsé cette peur des changements que mes décisions pas complètement assumées me balance en plein pommes. 

Oui, j’ai peur. Souvent. 

Mais j’ai appris à avancer malgré cette appréhension.

Se mettre la tete dans le sable c’est la worst idée EVER! 

J’ouvre et j’acceuille à présent, mes peurs avec douceur et bienveillance même si elles embarassantes AF, prenantes et surtout si elle sont non fondées. 

Je ne veux pas oublier cette peur qui doit continuer à me pousser pour continuer à dire fort ce que je visualise, ce que mes tripes me disent et surtout je ne veux plus me mentir à moi-même. 

Je ne veux plus sentir ce décalage presque immédiat entre mes valeurs et mes feelings.

Faire face à ces peurs c’est apprendre à mieux se connaitre believe me. 

On apprend à être encore plus en accord avec son nombril et du tout on a moins peur. Petit à petit.

Je les reconnais. L’émotion s’estompe. Je m’apaise. 

Nous avons tous une relation différente avec la peur, un background différent, des épreuves contradictoires. 

Certaines peurs nous semblent plus réelles que d’autre, et d’autres sont disproportionnés pour certains. 

Injustifiables et parfois incontrôlable.

Elles sont présentes, elles existent. 

Malgré leur existence éternelle, je vais continuer de te promener dans les bois, que le loup y soit ou non, car même si j’ai peur de l’orage je rêve aussi d’un coup de foudre.

Never hide baby, always grow.

OU J’ÉTAIS

Aujourd’hui n’est qu’une date parmi tant d’autres qui se soumets aux règles, aux traditions, contraintes, règles & exigences qu’on lui confèrent.

Une date importante

C’est elle qui règne aujourd’hui et elle me rappelle que le temps passe.

Heureusement.

 

Quand le temps passe, il y a quelque chose qui s’efface.

Un bobo, une pensée, un regret, une colère, un mépris, un espoir.

Le temps passe et il fait place à la nouveauté, au renouveau, aux émotions et sentiments vécus différemment mais ils sont aussi un second souffle à tout ce qu’on peut souhaiter et espérer.

 

Estie que c’est bon. C’est doux. C’est beau.

 

Malgré ce que j’ai vécu hier, les dates antérieures, ce que je sens ajd, à cet instant même, peu importe mes craintes et espoirs envers demain.

Malgré la lourdeur de certains choix encore incompris, cette souffrance, la portée des éclaboussures et certaines de mes peurs.

Le temps passe. Il avance et avancera encore.

 

Le temps c’est bon. Beau.

Le présent est doux, enveloppant et simple.

 

Il coule. Il estompe. Il a guéri les blessures qui ont déjà été sensible… que pour un temps. Plus de pincement, les images du passé s’embrouillent pour donner naissance à de nouvelles scènes, de nouveaux passages, de nouveaux souvenirs et j’additionne les parcelles de bonheurs, qui me font sourire à nouveau.

 

M’éloigner dans l’espace, me permet de juger différemment, de voir les événements prendre un tout autre aspect, une autre forme…et surtout une nouvelle tangente.

Vouloir autre chose.

Demander autrement.

Offrir mieux.

Donner plus aisément.

Vivre doucement. Différemment.

 

Cette expérience, ces connaissances de la vie, des choses (simples) qui tournent autour, que je croyais acquises me permettent de reconnecter avec moi, mon nombril, mes intérêts, mes envies éphémères et les plus down, mes valeurs, ce que je ne désire plus dans ma vie, ce que je veux + que tout dans mon quotidien.

Le recul que j’ai pris, le temps de pause que je me suis accordée me permet de considérer avec détachement ce qui défile afin d’apprécier impartialement toutes les démarches que je fais, les décisions que je prends et tous les sacrifices que je choisis.

 

J’ai cru longtemps que je devais prendre une seule direction et que je devais regarder droit devant … ne prendre aucune pause, aucun second souffle, ne surtout pas me laisser distraire que ce soit d’un côté ou d’un autre.

Je me trompais.

Cette direction que j’ai prise, les choix que j’ai fait et que je continue de prendre m’offre une multitude d’opportunité qui me font dévier, virevolter sur mon axe.

 

Plus je vois plus je veux goûter.

Plus on me touche, plus j’ai envie de toucher.

Plus je m’ouvre, plus il s’ouvre.

Plus j’essaie plus j’ai envie de d’essayer.

Plus je vis, plus j’ai envie de vivre.

MON CORPS IMPARFAIT

Ce corps est le mien. Parfaitement imparfait.
J’ai déjà été plus musclée.
Plus mince. Plus cut.
J’ai déjà été obsédée par la balance, le contrôle, la privation.
Jai déjà été si dure envers mon corps, que j’en ai fait du mal a mon âme et mon coeur.
Je sais a présent que je suis capable de me pousser à l’extreme. Je sais ce que cela prend.
Never again.
Ce corps est le reflet des efforts que je fais, des désirs et de mes envies.
Il porte les cicatrices que je lui ai infligées et celle de la vie… aussi incontrôlable et belle qu’elle peut l’être.
Il porte a présent un nouvel atout!
Celui du plaisir, du laisser aller.
J’apprend a être imparfaite et c’est fascinant.
Cheminement easy? Noooo. Tout un défi…Celui d’une vie maybe!
But le regard que je viens de me porter est doux, rassurant…. Les astres se sont alignées et ma vision est devenue claire.
Je désire être bien. En paix. Juste ça.
Cette photo représente tout le cheminement que j’ai fait, mes apprentissages et mon évolution perso. Invisible à l’écran.
Je continue de progresser day after day.
Le reflet du miroir ne m’importe plus et c’est ce que j’ai envie de te léguer…mon cheminement.
Je m’entraîne pour maintenant mes acquis.
Je cours parce que j’ai découvert une passion qui me permet de me sentir libre.
Je suis la tous les jours pour repousser mes limites, me sentir forte, en contrôle, me sentir bien…me sentir comme je me sens en cet instant….une badass.

MA VIE EN MOUVEMENT

Ma vie est mouvement.

Je vis de nouvelles étapes à travers les saisons, les heures, les minutes que la vie m’apporte. Chaque respiration est nouvelle et me permet de reconnecter avec moi-même.

Je suis ouverte à la nouveauté, à ce qui m’aurait refroidie avant… ce qui m’aurait fait tourner de bord.

J’accueille, j’accepte ce qui est aujourd’hui dans ma vie, je dis oui aux expériences et relations qui me permettent d’apprendre.

Celle qui me permettent l’apprentissage difficile de la confiance sans conditions.

Je me rends bien compte tranquillement que je n’ai pas le contrôle sur tout mais que j’ai le choix de voir se laisser aller comme je l’entend.

J’accepte donc d’accueillir l’inconnu plutôt que de souffrir de mon impossibilité à maîtriser ce que je ne peux saisir, identifier, limiter.

Parce que ce choix je l’ai en fin de compte.

Du haut de mes 34 ans, j’ignore encore où la vie m’amènera, ce qui m’attend.

Je ne sais pas non plus où se trouve la meilleure place pour moi.

Je laisse aller.

Je fais confiance en la vie.

Je me fais confiance.

La direction à prendre semble encore muette alors je demeure ouverte aux signes qui me donneront des indices, un sens à prendre.

Je sens mon cœur d’enfant, mon âme ouverte et mon désir d’aventures à laisser tomber les barrières que j’avais moi-même érigées.

Celles qui me retenaient à mon sol, à ce que je connaissais, ce qui était confortable et sécurisant pour la petite fille en moi.

J’ai pris la décision de prendre des risques.

Prendre le risque de vivre, de dire oui, d’avoir du plaisir, entrer en contact avec moi… la vraie moi, celle que j’ai laissé tomber.

J’ai confiance d’avoir tout en moi pour ouvrir la porte à l’incroyable, au merveilleux, à l’inimaginable … pour de vrai !

Je possède cette énergie en moi.

Cela vaut le coup d’essayer.

De m’aimer assez pour me faire confiance quant aux routes à prendre.

Je promets de ne plus laisser la peur diriger ma vie en me satisfaisant d’une routine confo qui était nocive pour mon âme.

En toute transparence avec toi… si le doute obstrue ton chemin, prend le temps de réfléchir, de te poser les bonnes questions et ne cherches pas les réponses.

Fait toi confiance.

 

MONEY ON MY MIND

ll y a des semaines que j’ai envie de faire un post sur l’argent.

Je l’écris, l’efface, le met plus smooth, le jazz, le reprend et là je viens de décider de juste le faire point barre. Sans chiffre. Moi je connais mon salaire, je connais l’opportunité que j’ai entre les mains… je suis en paix, à ma place et au final ce que les autres pense…

Pouf! Je n’ai pas à convaincre personne.

So, there’s my story. Retour à mes années 20.

Je me suis toujours battue contre mon poids, mes démons…mon bonheur. Quand il s’agissait de travailler sur moi, sur ma santé je préférais m’auto saboter, c’était bien plus easy.

Finalement, j’étais la fille envieuse qui regardait les femmes qui réussissaient, qui étaient bien dans leur peau, leur corps avec jalousie et mépris…elle étaient bien. Not me!

Je sais maintenant que j’avais peur de réussir, alors j’ai essayé plusieurs trucs, cumulés plein d’emploi en cherchant quoi ? Le bonheur … je pensais le trouver en cognant à des portes. Outch!

J’ai eu une relation malsaine avec la nourriture et ma vie en a souffert longtemps…mélanger à une attitude négative au quotidien. Ce n’était pas la vie que je voulais.

Je ne me sentais pas accomplie.

Pourquoi est-ce qu’on ne me laissait simplement pas être heureuse?  Et puis j’ai compris.

 

J’ai compris ce que je voulais vraiment.

Ma mère m’a toujours dit on n’est mieux servi que par soi-même ma belle! Alors, je devais aller le chercher MOI-MÊME mon bonheur, mon opportunité, cesser d’attendre que l’univers me l’envoie.

Au moment, ou je me suis permise de rêver, je me suis permise de croire en moi et c’est à ce moment que j’ai commencé à le vivre mon bonheur, le sentir, le respirer et le partager.

Je suis la seule et unique maîtresse de ma destinée.  Tout comme toi.

 

Les chiffres qui entrent dans mon compte en banque, je les vois comme un signe de LIBERTÉ et non comme un tableau compétitif ou de vantardise.Toute la vraie richesse que m’apporte mon job, mon rang, mes bonus… se retrouve derrière les nombres.

Mon temps. Je contrôle mon temps, mon horaire. Je suis la seule maitresse de mon temps que je peux passer avec les gens que j’aime, qui croit en moi, me supporte, et m’élèvent encore plus haut!

Ce qui le plus vibrant …. C’est savoir que des limites il n’y en a pas …en fait les seules limites qui peuvent réellement exister sont celles que je peux m’imposer moi-même.

La vraie richesse, la confiance, le respect que j’ai gagné durant les dernières années ne se retrouve pas sur un tableau comptable.

Ce que je fais au quotidien est easy ? Sure not…comme tout emploi. La croissance demande du temps, une présence, des sacrifices et de l’espoir.

Il faut faire preuve de constance, de patience et persévérer. Rester quand les autres abandonne.

 

But j’ai une grande vision. Une vision claire et elle me permet de regarder droit devant. Abandonner n’est pas une option…pas pour moi!

Mon objectif aujourd’hui est crystal clear: continuer de faire ce que j’aime et continuer de faire de l’argent. N’être nullement mal à l’aise avec aucun tabou.

Si tu as une flaire d’entrepreneur je veux t’aider à foncer.

Je veux te guider à prendre confiance en toi.

Je veux te libérer de la peur du jugement des autres.

Je veux t’accompagner dans le développement de ton projet.

Je veux te montrer qu’il est possible de rêver, vouloir + et mieux.

Si je peux …toi aussi tu peux believe me babe!

Vaness